Quelle diplomatie pour une République écologique ?

Un événement Écologie et République, dont je suis un des membres fondateurs, organisé en partenariat avec le Columbia Global Center Paris. Rendez-vous jeudi 16 mai à 19h au Reid Hall, 4 Rue de Chevreuse, Paris. Inscriptions ici : Quelle diplomatie pour une République écologique ? Billets

L’ordre international de 2024 est celui d’un monde fracturé par des antagonismes croissants entre un Nord et un Sud qui peinent à s’entendre et à se comprendre. Cette fracturation s’accompagne d’un retour de la guerre, y compris sur le sol européen, de la persistance du terrorisme, ainsi de la volonté de certaines puissances de remettre en cause les règles du droit international et les fondements mêmes du multilatéralisme.

Pourtant, la coopération entre Etats n’a jamais été aussi cruciale qu’aujourd’hui pour faire face aux grands défis interconnectés de notre temps que sont le  changement climatique, la préservation de la biodiversité et la lutte contre la pollution, le développement, ou encore l’apparition de pandémies. La France, qui s’est historiquement imposée comme un acteur majeur des relations internationales, se doit d’être à l’initiative pour encourager une coopération ambitieuse et jouer un rôle moteur pour relever ces enjeux globaux. Ce rôle doit s’articuler avec une prise en considération de sa sécurité et celle de ses voisins européens, y compris énergétique, et une défense de ses intérêts, notamment économiques.

Dans ce contexte, le groupe de réflexion Ecologie et République, en partenariat avec Columbia Global Centers, vous propose de participer à une discussion en compagnie d’un panel d’experts regroupant universitaire, diplomate et représentant d’ONG, autour de deux questions directrices:

Quelles priorités pour une diplomatie climatique et environnementale ambitieuse? Comment mieux aligner les diplomaties environnementale, économique, et de défense ?

Oui à un salaire vital pour les ouvrières du textile

En cette journée pour les droits des femmes, vous trouverez ci-dessous une tribune publiée dans Le Monde du jour, que je co-signe avec d’autres élu.e.s de la NUPES dont Aurélie Trouvé, Manon Aubry, Marie Toussaint et Pierre Larrouturou notamment, ainsi qu’avec des responsables économiques et d’ONG, qui demande à la Commission Européenne d’exiger des marques de fast fashion un salaire vital pour leurs ouvrières.

N’hésitez pas à signer la pétition « Good clothes, fair pay » qui va en ce sens : Good Clothes, Fair Pay (goodclothesfairpay.eu)

Mon soutien à cette initiative s’inscrit dans l’action que je mène à Paris pour une mode durable, qui implique de repenser toutes les chaînes de production et de consommation du textile au plan international.

Lire la suite
Défiler vers le haut